D’autres rêvent… et nous emmènent loin, très loin : dans les contrées danoises à la poésie cristalline, dans les lectures victoriennes d’ « Alice aux Pays des Merveilles », et jusque sur la terre espagnole aromatisée aux effluves nipponnes.
Si les premiers nous ont fait saliver, les seconds nous ont littéralement transportés. Derrière une technique maitrisée de toutes parts, les deux rives s’éloignent pour se retrouver tout de même au confluent du partage. Car tous (ou presque) étaient mus par l’envie de donner. Deauville cette année, c’était un peu l’histoire d’ « un homme et une femme ». L’émotion était omniprésente et, à la fin, les yeux se sont embués. Chabadabada… http://www.omnivore.fr/?p=1367