Il ne faut pas laisser tomber Clotilde Reiss, victime expiatoire de la dictature religieuse et de la démence anti-occidentale du régime iranien. Il faut la soutenir coûte que coûte et sans relâche comme nous l’avons fait pour Ingrid Betancourt et comme nous le faisons pour Aung San Suu Kyi.
Je vous invite à inonder les ambassades d’Iran de courriels, de fax et de SMS. Vous trouverez les coordonnées en cliquant sur le pays de votre choix : France, Belgique, Suisse.