Mais la camionnette qui transporte les caisses n'est pas ce qu'elle devrait, le code d'entrée est ce qu'on ne sait pas, les nouveaux voisins ne sont pas ceux qu'on se souhaite et l'eau tombe à pleins seaux: ça ne lui vaut rien de rester avec son agacement sur les bras et le commissaire n'a d'autre ressource que de mettre la main à la pâte, avec victimes afférentes.
C'est une journée désordonnée où on trouve plus facilement un objet contondant qu'une culotte. Et, Dieu soit loué, la petite Anne ne semble nullement traumatisée par ces meurtres à domicile: au contraire, elle s'en lèche les babines.
Éditions P.O.L