Partie une semaine. Et vent de panique plus fort encore, semble-t-il, d’après les derniers textes du blog. Sentiment d’impuissance, d’infériorité même. On dirait une grande montagne au pied de laquelle on se demande comment la gravir, condition physique trop faible, niveau de difficulté trop élevé. Mais est-ce vraiment le cas? Tu nous as suffisamment prouvé que tu étais capable de franchir bien des cols ardus, non? Je reconnais: la tâche semble extrême. Mais comme tu le disais dans un texte précédent, le lecteur sera-t-il vraiment davantage touché que par la version x+++ qu’il ne connaissait de toute façon pas? L’adage n’a pas tort: Le mieux est l’ennemi du bien. La satisfaction personnelle, la perfection sont toujours relatives: c’est pourquoi la perfection n’existe pas vraiment, on n’est jamais vraiment satisfait, on aurait toujours pu faire mieux, non? Je m’y connais en perfectionnisme… Concentre-toi sur les incontournables de la correction. Sans exagérer. Trouver la bonne mesure pour te protéger, aussi… Je sais, facile à dire. Peut-être devrais-tu présenter à tes 6 lecteurs les difficultés que tu as repérées et les laisser juger encore une fois. Je pense qu’aucun d’eux n’aurait quelque chose contre.