A l’origine, membre du groupe Mink Deville, puis en solo en tant que Willy Deville, il fut une époque où je possédais tous ses CD et j’appréciais ce chanteur aux multiples facettes, parti des ambiances punk pour en arriver à celles hispano-News Orleans.
Paradoxalement plus connu en Europe qu’aux USA, sa mort, vendredi, laisse un vide.
Le voici dans “I’m blue, so blue”:
Et dans sa reprise d’“Hey Joe”, qui fit un tabac:
Bon dimanche.
- “Science du sexe et sexe des sciences”. Le Monde.
- “La prolifération des algues, un danger pour le littoral”. Le Monde.
- “Les bénéfices très incertains du travail dominical”. Le Monde.