Je reprends : semi-marathon du Porge le dimanche 16 août à 9 heures. J’ai horreur de cette course. Je l’ai faite une fois, en 2006. Le parcours est ultra-monotone, de longues lignes droites sous les arbres. En plus, pour partie, c’est une boucle à faire 2 fois. A l’arrivée, on est récompensé par un vieux tee-shirt en coton. Sérigraphié en vert fluo avec le nom des sponsors, La Jenny entre autres… trop la classe, voyez l’affiche !
Mais faut que j’y aille, c’est mon destin. Pas pour faire le cochon, hein ! Mon objectif reste d’améliorer mon temps sur marathon en octobre prochain, à Toulouse. JE VEUX descendre sous les 3h15. Me suis raté à Rome, alors que j’avais travaillé la vitesse (sur 10 kms) tout l’hiver dernier. Puis suivi un «ancien» plan à ma sauce fourni par le site du marathon de Paris. Depuis Rome, j’essaie de conserver l’endurance (1 sortie longue par semaine avec du rythme passé l’heure de course) et d’améliorer la vitesse (séances de fractionné court sur 200, 400 et 800 m). Le tout complété de séquences d’étirements. Et de muscu. Surtout des jambes, car j’ai tendance à avoir les quadriceps de Kate Moss en version anorexique. Et que çà me donne des inflammations du tendon rotulien (chondropathie).
Donc le Porge doit me permettre de courir plus vite plus longtemps. Avant d’enchaîner sur une nouvelle préparation marathon début septembre.
Vous savez tout. Ou presque. Je vais prendre un tube énergétique au 10ème km. Un second aux alentours du 18ème. Dénommé « coup de fouet ». Rien à voir avec Mel. Et j’aimerais taquiner les 1h27, mon meilleur temps quand j’étais jeune. C’est-à-dire y’a 3 ans. Avant que… avant que je ne vieillisse prématurément. Comme Benjamin Button.
Maintenant vous savez tout. Bises à toutes.
Manu