LA GRIPPE PORCINE (H1N1) ET LE MYTHE DE LA VACCINATION
Remarque : l’état d’urgence pandémique permet aux laboratoires pharmaceutiques de garder leur monopole privé, leur contrôle, leur influence sur les gouvernements (qui n’existe plus) et leur profit (grosse demande et grosse commande). Évidement, cette nouvelle pandémie constitue un autre genre de diversion, identique au 11 septembre 2001, ayant eu pour conséquence une politique impérialiste et une législation anti-démocratique (Patriot Act), pour garantir obéissance, ordre et pouvoir , bref, un véritable état policier. Ainsi, le 11 septembre 2001, la crise financière et cette pandémie semblent être de parfait ticket accélérateur du nouvel ordre mondial monothéiste.
Mardi 21 Juillet 2009,
Depuis Avril 2009, une propagande mondiale de peur sur un nouveau virus monopolise notre attention. Ce virus aurait les même symptômes qu’une grippe classique, mais se terminerait avec une complication pulmonaire mortelle. Aussi, le serial killer microscopique viserait surtout les jeunes adultes avec un système immunitaire solide. Des experts prédisent même un pic épidémique en automne et en hiver, pouvant entraîner une campagne de vaccination mondiale.
Au niveau de la structure génétique de ce virus, celle-ci mélangerait de l’ADN d’un virus porcin (H1N1), aviaire (H5N1) et humain (H3N2). Cette configuration serait due à une mutation génétique normale d’après certain expert. Qui expliquerait le renouvellement des vaccins chaque année. Problème, d’autres experts considèrent cette mutation comme inhabituelle, comme s’il s’agissait d’une hybridation artificielle (créer en laboratoire par manipulation génétique). Bizarrement, 2 mois avant l’apparition de la grippe porcine, on apprend qu’une nouvelle usine de vaccin contre la grippe classique va ouvrir au Mexique, pendant la visite de Nicolas Sarkozy. Et que celle-ci, va, comme par magie, produire des vaccins contre la grippe pandémique.
Au niveau du traitement préventif contre le virus H1N1, les gouvernements et institutions recommandent le Tamiflu (dont l’efficacité n’a pas été prouvée) du laboratoire de biotechnologie Gilead science Inc de l’ancien actionnaire principal Donald Rumsfeld (de l’administration Bush), qui traite aussi des patients avec le HIV, l’hépatite B… avec d’autres médicaments.
Certaines sources pensent même que Donald Rumsfeld serait lié à la grippe aviaire, qui, aurait été créer pour détruire l’industrie de volaille biologique Asiatique, pour la remplacer par l’industrie de volaille transgénique de la multinationale Monsanto. Revenant sur le Tamiflu, ses effets secondaires seraient pire que la grippe porcine elle même : hallucination, comportement anormal, automutilation, mort, complication respiratoire… Malgré cela, on le commercialise, tandis que le japon interdit son usage sur les ados.
De plus, il faut savoir que des substances très toxique à long terme sont utilisées dans les traitements antiviraux et les vaccins pour l’être humain et l’animal. En effet, on y trouve de l’aluminium, du mercure (thimérosal)… favorable au développement de maladie post-vaccinale neurologique (autisme, encéphalopathie…), dermatologique, musculaire, auto-immune (sclérose en plaque)… tout en sachant qu’il y a aussi des décès et des personnes qui, malgré leurs poursuites judiciaires, ne sont jamais indemnisées malheureusement.
En 1976, une grippe porcine frappe pour la première fois 200 soldats américains à la base militaire de Fort Dix (New Jersey). Cet alors qu’une campagne de peur fera la promotion d’ un vaccin, qui causera des décès chez certains vaccinées, tandis que d’autres souffriront de complications neurologiques durable, (le syndrome de Guillain-Barré). Au niveau de l’efficacité des vaccins, en 2006, le congrès du Projet Cochrane rédigera une synthèse critique sur des études de 260 000 enfants, qui aura pour conclusion que la vaccination des enfants ne prouve aucun bénéfice. D’autres personnes, comme le Dr Simonsen, fera le constat que la vaccination contre la grippe aux États-Unis n’a pas diminué la mortalité des personnes âgées.
Un autre journal américain « Vaccine » du 5 avril 2006, nous apprend que le nombre de cas de grippe avait augmenté de 60 % après une campagne de vaccination au Canada. Plus critique encore, le professeur Jean Dausset, prix Nobel de Médecine en France, jugera en 1980, la vaccination comme étant une pratique du passé. Pire, en février 2009, Baxter International Inc. aurait mélangé le virus de la grippe aviaire (H5N1) avec des vaccins contre la grippe classique (H3N2) et les auraient vendu en Europe de l’Est. Face à ce constat, une enquête indépendante citoyenne devrait être mise en place pour analyser chaque nouveaux vaccins, pour y rechercher à la présence de produit nanotechnologique (capable d’aller dans le cerveau), chimique, métallique ou génétique… Cela, pour combler le manque de transparence évident, mais aussi pour déconstruire la rhétorique officielle mensongère et vendeuse de « mort au rat ».
Au niveau de l’élevage industriel, la surmédicalisation a déjà utilisé des hormones artificielles pour augmenter la production de lait (BST : le posilac). Qui entraînera une inflammation des poumons, une stérilité… chez les vaches. Constituant ainsi un véritable danger pour l’animal et pour le consommateur. Autre question : une vaccination des hommes est-elle possible via une vaccination des bêtes ? Quant on sait que de nos jours, on multi-vaccine encore les animaux avec des vitamines, des antidépresseurs et des antibiotiques… ces derniers, servant d’ailleurs, uniquement à développer la résistance des virus et bactéries. La question reste ouverte. Encore, sur la grippe porcine (H1N1), l’OMS et le CDC émettent la certitude que la viande de porc n’aurait aucun rôle dans la genèse de cette pathologie. Tandis qu’une étude de la « John Hopkins School of Public Heath » sur la IFAP (Industrial Farm Animal Production) laisse entendre que les fermes industrielles seraient propice à la contamination des eaux souterraines, mais aussi à la circulation et la mutation de nouveaux virus.
Finalement, sommes nous les cobayes d’un test qui semble nous préparer, nous habituer à quelque chose ? Une réduction de la population mondiale ? À propos de ça, en mai 2009 à New york, une rencontre entre plusieurs milliardaires (Bill Gates…) abordera la question de la surpopulation. Ainsi, la grippe porcine serait peut être une arme biogénétique, directement issue d’un complot médicale, pharmaceutique, agro-alimentaire, pétrochimique et militaire. D’ailleurs, en 2005, des scientifiques évoqueront leur tentative de ressusciter le virus de la grippe espagnole de 1918, dont l’origine exacte venait de Fort Riley, une base militaire américaine du Kansas. De façon identique, le SIDA serait probablement une création humaine volontairement introduite au même moment chez les homosexuelles de New-York et chez des africains, suite à des vaccinations contre l’hépatite B, entre les années 1978-1981. L’utilisation de cobayes humains fait immédiatement penser aux expériences médicales menées pendant l’Allemagne Nazie et à son eugénisme (la science génétique), visant à créer une humanité transgénique supérieur, toutes en réalisant une purification ethnique ciblée. C’est encore des membres de l’Allemagne Nazie, qui, après les procès de Nuremberg, vont être à l’origine des plus grosses industrie existantes, toujours en collaboration avec les Etats-Unis, la fondation Rockefeller et Carnegie… On connaît par exemple les pesticides toxique et cancérigène, utilisés comme insecticide ou herbicide (agent orange de Monsanto). Mais qui sont en réalité, de véritable arme de destruction massive, source de génocide à long terme.
Tout en déréglant le système immunitaire et notre génome. Avec des hôpitaux-camp de concentration qui « pique » les malades au lieu de les soigner, avec des médecins qui « deal » et expérimente sur nous de nouvelle drogue de synthèse, tout en étant des « anges de la mort ». Remarque :
l’état d’urgence pandémique permet aux laboratoires pharmaceutiques de garder leur monopole privé, leur contrôle, leur influence sur les gouvernements (qui n’existe plus) et leur profit (grosse demande et grosse commande). Évidement, cette nouvelle pandémie constitue un autre genre de diversion, identique au 11 septembre 2001, ayant eu pour conséquence une politique impérialiste et une législation anti-démocratique (Patriot Act), pour garantir obéissance, ordre et pouvoir , bref, un véritable état policier. Ainsi, le 11 septembre 2001, la crise financière et cette pandémie semblent être de parfait ticket accélérateur du nouvel ordre mondial monothéiste. Cela, en exploitant parfaitement le concept orwellien de « conflit sans guerre » dont les caractéristique sont d’être plus propre et plus gérable qu’une guerre conventionnelle, dont les exemples sont multiples
: guerre contre le SIDA, guerre contre la drogue, guerre contre le terrorisme, guerre contre le cancer, guerre contre le réchauffement climatique, et maintenant la guerre contre la pandémie… Le tout, avec une opération psychologique de propagande officielle qui stimule la peur et le désir de sécurité de la population, pour qu’elle accepte des réformes, des restrictions, des mesures d’exception (une loi martiale, une quarantaine en camp d’internement, une vaccination obligatoire, une traçabilité biométrique et une hyper-surveillance, la fin de tous rassemblement et manifestation…). Bref, restons lucide, car nous vivons une époque très intéressante, ou la décomposition universelle à tous niveaux est sûrement une des première règle ici- bas…
Article de potentiel670 sur (contact: [email protected])