Fesse to Breast ou le combat des titans

Aujourd’hui nous allons aborder un débat controversé mais curieux au demeurant. Enfin moi ça m’intéresse vachement de connaître ton avis de lumière sur la question.

Avec les compères de l’apéro sauvage d’hier soir, après quelques jus de pamplemousse acerbes, entre les débats autour de la biodiversité et les discours engagés sur la protection des espèces menacées comme le bébé phoque, on en est venus à parler nichon et fessier. Pourquoi ? Mais je n’ai pas réponse à tout. Parce que ouais désolée moi j’aime bien sonder la polulation sur le combat seins vs cul :

N°1 : la question classique pour l’entrée en matière

« Toi t’es plus lolo ou booty? »

Ce à quoi souvent on me répond généralement : c’est un tout, j’ai pas vraiment de préférence… Quoique depuis quelques temps, tandis qu’outre atlantique les prothèses mammaires ne cessent de proliférer de façon foudroyante de la cheerleader vestale à la MILF quadragénaire, et bien on mettrait plus son veto sur le postérieur que sur le néné dans notre territoire gaulois. Est-ce que ça serait typiquement français comme comportement ? Parce que mine de rien, je pense pas que beaucoup de mecs frenchy tapent sur Google : « vidéo X petits seins »… Mais alors que doit-on en déduire ? S’exclamât la femme Birkin. Que les mecs d’aujourd’hui aiment à regarder la gonzesse plantureuse de la poitrine à travers un écran mais que dans son lit ce n’est pas une condition sinequanon… ?

Après la question n°2, j’enchaîne souvent sur la suivante :

« Mais sinon t’es plus pomme rainette, melon ou pastèque? »

Et c’est là qu’on se fout de ma gueule, en me disant que la taille ça compte pas… Tu me diras peut être que c’est parce que je pose la question à mes amis. Et l’ami est pas toujours très honnête sur le physique, c’est un leurre. Je suis convaincue que la taille a indéniablement son importance sous la couette. Ayant palpé de la forte poitrine, vraie et fausse, je peux te dire que dans les deux cas c’est carrément plus chouette et plus ludique d’avoir matière à. Quand y en a pas c’est un peu comme jouer au bowling avec des cochonnets… Tout de suite moins galégeant.  Pis y a quand même moult positions en sus à expérimenter avec l’option gros nichons.

Les questions fusent subséquemment de manière sporadique, parce que souvent, à ce niveau de la conversation, j’ai presqu’englouti une brique de jus de pamplemousse et les complexes ne se font pas prier :

« Mais c’est mieux quoi alors, gros seins et gros cul ? »,  « Tu préfères quoi, toi, un ptit booty et des p’tits seins de bakélite ? », « La poitrine opulente est-elle vraiment de rigueur face à un p’tit popotin tout rond tout mignon ? »… eccetera quoi. Et la personnalité sexuelle dans tout ça, merde !

C'est là que tu te dis, putain la pauvre, elle en a gros sur le téton… (N’importe quoi moi!)  Bah ouais n’empêche que je reste persuadée que le sein il fout la nique au fessier, c’est juste que là c’est tendance, mais jadis, rappelle toi la dame des années 70, elle avait carrément la fesse plate, pas du tout rebondie hein, et qu’on préférait de loin le sein prohéminant… Et nous ne parlons même pas de pilosité. Donc peut-être que dans 20 ans ça sera désuet la joue rebondie… Que sais-je.

Qu’en penses-tu toi ? (Si tu pouvais me polluer les com’ avec des « nan mais c’est carrément mieux les p’tits seins, c’est mimi, tonique, dynamique, aphrodisiaque… ?! » Sinon tu peux toujours dire la vérité hein…)

Psdm : C’est effrayant comme le web, en période estivale, se transforme en un pauvre réseau local.

Psti : Non, incessemment sous peu nous n’aborderons pas l’importance de la taille du phallus, on connait déjà la réponse.