Where the sidewalk ends
Rating: 3 out of 5 stars A la fin de l’épisode 6, on nous avait laissé avec une ellipse temporelle sur les bras. Badaboum. Cette fois, la série ne s’encombre pas d’une grossesse prout-prout et sans intérêt, comme beaucoup d’autres séries. Le petit monstre à griffes est expulsé au bout de quelques épisodes dans une hâte nous précipitant dans l’accélération de l’intrigue.
Et hop, Nancy découvre déjà qui est la petite peste qui met à mal tous ses plans. elle-ci découvre l’identité de l’autre femme qu’ Esteban fréquente. Cela dit, on voit pas non plus qui elle est vraiment. Cet épisode, loin d’être explosif, a ce mérite. On expédie tout ce qui nous emmerde. On retrouve pas mal de similitudes avec les saisons précédentes où Nancy se débarasse d’un gros, mais alors d’un très gros problème, en un coup de fil. Ben oui, soyons honnêtes, Nancy a tout dans la caboche, c’est la méga-matriarche, mais elle n’est jamais seule pour s’en sortir. Elle obtient l’accréditation pour poser son nom sur la solution finale, voilà tout. Toujours est-il qu’Alanis est de retour et qu’on découvre le nouveau monstre à griffes qui semble apaiser les tensions. Nancy s’est tout de même enfuit dans une voiture dont les portes ne s’ouvrent pas mais qui est une culte General Lee et a choisi elle-même le joue où son nouveau-né verrait ses premiers rayons de soleil -que c’est chou-.
Et le retour d’Isabelle et de Dean. Les anciens font leur retour, et c’est tant mieux, eux aussi faisaient que la série avait son piquant tout perso.
Cette saison m’a l’air de régler ses comptes avec les couacs du passé. On attend de voir la finalité de tout ça. Comment va-t-on se débarasser d’Esteban?
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