Diagnostic à portée de nez
(Agence Science-Presse) – Il y a longtemps que les scientifiques savent que certains animaux, comme les chiens, peuvent renifler des maladies chez les humains.
Ivan Rodriguez et ses collègues de l’Université de Genève viennent d’identifier le comment: un récepteur de l’odorat —également présent chez la souris— qui réagit à des molécules produites par des bactéries, des virus et des inflammations expulsées dans l’urine des malades.
De là à dire qu’on pourrait engager des chiens et des souris dans les hôpitaux pour faire des diagnostics, il y a… plusieurs pas.