Ces cas de morsure n'enchantent pas du tout le monde animalier,car c'est le cas dans plusieurs pays,ou l'on annonce des chiffres de morsures cinq fois superieur a ce qui est dit dans le cas de cet article,alors info ou intox ???? de la part des autorités de ces villes respectives pour voir déferler les executeurs d'animaux dans la rue sur odre des gouvernements pour que les ONG ne puissent faire barrage à des éxécutions sommaires de bêtes qui n 'ont meme souvent jamais montrées les dents envers ceux qui les ont lachement abandonnés.Car l'Europe de l'Est n' est pas innocente à de tels cas de figure.Et je trouve cela honteux de s'en prendre à plus petit que ce soit quand on est incapable de prendre soin de son meilleur ami.
Prolifération d’animaux errants Près de 1700 morsures sur personnes enregistrées depuis début 2009
Des responsables du service prévention et maladies infectieuses relevant du CHU d’Oran ont tiré la sonnette d’alarme, suite à la prolifération des morsures d’animaux errants qui risquent d’être fatales pour certains patients, en particulier les enfants en bas âge.
En effet, suivant les statistiques établies par le même service, le nombre de morsures enregistré depuis le début de l’année en cours s’élève à 1673, à raison de 280 cas par mois et 9 morsures par jour. Ce qui est relativement élevé par rapport à la moyenne enregistrée durant le premier semestre 2008.
Dépenses considérables
Et ce qui est plus grave c’est que 28% des cas de morsures reçus au niveau du service prévention représentent la tranche des enfants de moins de 10 ans, sachant que la commune d’Oran connaît le plus grand taux de morsures, soit 57% du taux global. En plus des préjudices causés aux personnes mordues, l’État enregistre également des dépenses considérables pour les médicaments et vaccins prodigués à ces personnes et que l’on estime à 500 millions de centimes, alors qu’il suffit d’éliminer les points noirs, les décharges sauvages et les animaux errants pour éviter des dépenses inutiles. D’un autre côté, les services communaux qui veillent à l’enlèvement des déchets ménagers et ceux de la fourrière se plaignent d’un manque flagrant de moyens matériels nécessaires à leurs tâches pour la couverture de toute la wilaya.