Selon le baromètre mensuel
Sofres/Figaro Magazine d'octobre la cote de popularité de Nicolas
Sarkozy perd 7 à 8 points par rapport à celle du mois de septembre.
Fait étonnant, celle du premier ministre ne bouge quasiment pas (52%).
De part son implication dans les débats politiques, le président subit
directement la réticence d'une partie des français sur certains dossiers du
gouvernement comme les tests ADN dans le cadre du regroupement familial.
La vieille théorie du "fusible" qui découle de la constitution et voulant que
ce soit le premier ministre qui endosse la responsabilité des politiques
impopulaires n'existe plus de fait.