On avait déjà eu droit à la version Patricia Cornwell, auteure de polars, qui subventionne les forces de polices américaines. Maintenant, place aux jeunes et aux étudiants en particulier, avec Lee Child, qui dévoile un penchant pour la philanthropie assez généreux.
Le créateur de Jack Reacher, ancien de la police militaire, a en effet mis au point plusieurs programmes de financement pour des universités, lesquels porte bien sûr le nom de son héros.
Il a ainsi fait don de 104.000 £ pour financer 52 bourses d'étudiants anglais, à raison de 2000 £ par tête de pipe.
« J'ai été très heureux d'aider ces personnes : ma génération est allée à l'université gratuitement et je crois dans le paiement de ces choses », explique l'auteur de 13 ouvrages. Perturbé, en fait, le Lee. Parce qu'il trouve inquiétant que des élèves brillants et doués abandonnent tout à coup l'université et renoncent à leurs études pour des simples problèmes d'argent. « Tout comme mon personnage littéraire Jack Reacher, quand je vois des choses qui ne vont pas correctement, je les rectifie. »
Dans l'un de ses derniers livres, Jack se retrouve à contrecarrer les plans de l'infâme organisation Al-Qaida. Une phrase, presque tirée des perles de Jack Bauer mérite que l'on s'y attarde : « Pour faire de moi une victime potentielle, il faudrait que la population mondiale ait été anéantie, et que je me retrouve seul à seul avec un agresseur. Et encore : je gagnerai. »
Épique !