Le super héros armé de sa fibre paternelle ma foi fort développée a donc aussitôt surgi de son néant pour rétablir justice et vérité, et faire rendre gorge à ce … (censuré).
Plus sérieusement, l’article qui m’a fait bondir était le suivant :
Qu’est-ce qu’être de gauche ? Suffit-il d’avoir eu un papa de centre gauche lorsqu’il était ministre, puis du centre tout court lorsque il présidait la Commission européenne ? Suffit-il d’afficher quelques kilos de trop et de parler d’une voix pâteuse, pour « faire peuple », en brandissant comme une médaille le fait que l’on dirige la même mairie que jadis Pierre Mauroy ? Suffit-il de squatter, devant les caméras, sous une banderole PS, la grande manifestation du 29 janvier 2009 (qui avait justement l’avantage de réunir même des syndicats modérés comme la CFTC, l’Unsa et la CGC et d’avoir donc une image « apolitique ») en proclamant que c’est le grand retour du PS dans les manifestations (comme si c’était le sujet du jour….) alors qu’il s’agissait plutôt d’un grand retour du syndical ?
Par ailleurs, Martine Aubry a-t-elle vraiment inventé ou porté l’idée de la réduction du temps de travail ?
Lire la suite :
http://www.mediapart.fr/club/blog/pumacurieux/260709/martine-aubry-est-elle-de-gauche
Ma réaction ne se fît pas attendre…
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ce genre d’attaques sur le physique de Martine Aubry ne vous grandit vraiment pas ! se moquer du physique des gens est-il pour vous de gauche ? C’est ignoble !
ma gauche à moi, elle est là : http://gauchedecombat.wordpress.com/2009/07/30/ma-gauche-a-moi/
Quant à Ségolène, je n’en dirai rien de plus. Il vous suffira d’écrire son nom si « peuple » dans la fenêtre de recherche de mon blog pour savoir ce que j’en pense…
Vous conviendrez avec moi qu’il s’agit là d’une conception bien étrange de la fraternité… (Surtout envers cette pauvre Martine, avec laquelle Mme Royal tentait me semble-t-il – si j’ai bien suivi – de pactiser récemment). Et l’impossibilité de laisser des commentaires une façon plus que curieuse de pratiquer une certaine démocratie participative… Quant à la nature du billet, elle ne fait pas vraiment honneur au discours politique, c’est le moins qu’on puisse dire.
« Errare humanum est » ? Certes ! Mais la suite est … : « perseverare diabolicum », ce qui peut se traduire par « persévérer dans l’erreur est diabolique ». CQFD.
Monsieur l’illustre inconnu qui gagnerait à le rester, je ne vous salue pas.