Bayard jeunesse, 2009 - 322 pages - 11,90€
Traduit de l'anglais (USA) par Danièle Laruelle
Quelle surprise ! En tournant la page du tome 3, La Dixième Cité, le lecteur découvre qu'un nouvel ouvrage est désormais disponible, reprenant l'action là où elle se terminait, c'est-à-dire à bord du Warwick Beacon. Cela devient une habitude ! Cette fois, Alexa a l'esprit en paix, la tête tournée vers la découverte de nouvelles contrées, les oreilles à l'écoute d'une histoire passionnante, contée par Roland Warvold, et qui révèle le passé étonnant de Roland et son frère Thomas.
Il s'agit donc d'une nouvelle série, inspirée de la première, mais totalement indépendante, puisqu'elle peut être lue sans la connaissance des trois précédents volumes d'Elyon. Selon l'auteur (astucieux), c'est aussi un moyen de donner envie, le fait de lire ce "prequel" incite les nouveaux lecteurs à se passionner pour les mystères de la terre d'Elyon et les aventures qu'ils engendrent.
L'histoire de Roland raconte donc sa sinistre enfance passée dans la répugnante Maison sur la Colline, son évasion et celle de son frère, annonçant ainsi le début de nouvelles péripéties. Ils vont découvrir ce que signifient leur étrange tatouage, croiser des personnages qui compteront énormément dans la suite de l'histoire et explorer de nouveaux territoires inconnus.
A vrai dire, en prenant connaissance de l'existence de ce tome 4, j'étais étonnée, persuadée d'avoir bouclé une série - une trilogie, que dis-je - soudainement transformée en saga. J'ai déjà exprimé mon scepticisme à ce sujet, cf. Artemis Fowl, je ne vais pas revenir sur ce principe déconcertant qu'ont les auteurs de rallonger des séries à l'infini.
Malgré cela, je ne suis pas mécontente de renouer avec un univers qu'on a du mal à quitter, la terre d'Elyon et le destin extraordinaire d'Alexa. Patrick Carman a déjà prouvé qu'il était un véritable créateur d'atmosphère et un formidable conteur d'histoire. Cet ouvrage en est la preuve ; de plus, il tisse avec brio une intrigue autour du passé et du présent, de nouvelles personnalités se dévoilent, des secrets vont émerger et probablement cela va éclaircir des détails restés nébuleux précédemment.
Le monde d'Elyon est un monde passionnant, n'hésitez pas à vous laisser convaincre !
Il s'agit donc d'une nouvelle série, inspirée de la première, mais totalement indépendante, puisqu'elle peut être lue sans la connaissance des trois précédents volumes d'Elyon. Selon l'auteur (astucieux), c'est aussi un moyen de donner envie, le fait de lire ce "prequel" incite les nouveaux lecteurs à se passionner pour les mystères de la terre d'Elyon et les aventures qu'ils engendrent.
L'histoire de Roland raconte donc sa sinistre enfance passée dans la répugnante Maison sur la Colline, son évasion et celle de son frère, annonçant ainsi le début de nouvelles péripéties. Ils vont découvrir ce que signifient leur étrange tatouage, croiser des personnages qui compteront énormément dans la suite de l'histoire et explorer de nouveaux territoires inconnus.
A vrai dire, en prenant connaissance de l'existence de ce tome 4, j'étais étonnée, persuadée d'avoir bouclé une série - une trilogie, que dis-je - soudainement transformée en saga. J'ai déjà exprimé mon scepticisme à ce sujet, cf. Artemis Fowl, je ne vais pas revenir sur ce principe déconcertant qu'ont les auteurs de rallonger des séries à l'infini.
Malgré cela, je ne suis pas mécontente de renouer avec un univers qu'on a du mal à quitter, la terre d'Elyon et le destin extraordinaire d'Alexa. Patrick Carman a déjà prouvé qu'il était un véritable créateur d'atmosphère et un formidable conteur d'histoire. Cet ouvrage en est la preuve ; de plus, il tisse avec brio une intrigue autour du passé et du présent, de nouvelles personnalités se dévoilent, des secrets vont émerger et probablement cela va éclaircir des détails restés nébuleux précédemment.
Le monde d'Elyon est un monde passionnant, n'hésitez pas à vous laisser convaincre !