Après le cannabis et la coke, le crack se banalise : que faire ?
Publié le 29 juillet 2009 par Alex Ruben
Marseille Noailles : samedi 25 juillet à 11h, les bénévoles de l’association « Non à la drogue, oui à la vie » ont monté une fois de plus leur stand de prévention devant le marché des Capucins, gare Noailles dans ce quartier où les dealers font partie du paysage, pour informer sur le danger de consommer du Crack et des drogues en général.
C’était inévitable : après le « rush » de la cocaïne, les aficionados recherchent des sensations encore plus fortes et s’essaient au crack. Les jeunes doivent savoir que fumer du crack amène à un état d’euphorie intense beaucoup plus rapidement que la cocaïne et beaucoup plus bref aussi de sorte que l’accoutumance se développe très tôt et celui qui en consomme peut devenir accro dès la première prise !
Pour A.C., ex toxicomane « la vérité c’est que le crack est la pire drogue qui soit, pire que l’héroïne : une seule prise peut vous transformer en un monstre »
Les jeunes consomment de la cocaïne de plus en plus tôt : Comment éviter qu’ils ne tombent dans ce piège ?
Pour Robert Galibert, président de l’association « Non à la drogue, oui à la vie » : « Les drogues détruisent ce qui est le plus précieux en nous et qui nous différencie des animaux : la capacité à penser ».
C’est pourquoi les bénévoles de l’association ont largement distribué gratuitement, dans ce quartier où toutes les drogues circulent presque librement, des brochures explicites intitulées « La vérité sur la drogue » sur les dangers du crack mais aussi à propos des drogues les plus courantes telles que joint, ecstasy, héroïne, cocaïne, LSD, antidouleurs, cristal Meth ou Ritaline.
Pour obtenir d’avantage d’information sur les actions de l’association ou pour télécharger gratuitement les 10 brochures « La vérité sur la drogue », visitez le site internet : www.nonaladrogue.org.
Contact presse : Robert Galibert 04 42 03 56 60 / 06 20 51 17 57 info.drogue@gmail.com ou www.cestquoiladrogue.fr