Mediapart nous annonce que "la justice française est accusée par un citoyen américain d'avoir épargné un intime de Nicolas Sarkozy, le richissime banquier d'affaires italo-américain Robert F. Agostinelli." Avouerai-je que je n'avais jamais entendu parler de banquier? Mais ce qui me frappe, c'est le nombre d'amis intimes que l'on prête à Nicolas Sarkozy. Il y a quelques jours encore un journal, je ne sais plus lequel, citait Serge Dassault et Martin Bouygues et on se souvient des Clavier et consorts. Il ne se passe pas de semaine sans que l'on n'en découvre un nouveau, pas toujours recommandable, mais peu importe… Il ne s'agit plus des réseaux d'autrefois, ni des rolodex soigneusement entretenus des politiques ordinaires, mais de quelque chose d'autre. Une sorte de Facebook généralisé et diablement écelctique .