La malédiction des Pharaons

Par Krri

de Elizabeth Peters

C'était bien l'intention de Sir Henri de poursuivre ses fouilles à Louxor, jusqu'aux fondations de l'édifice pour s'assurer que la sépulture n'avait pas été découverte lors de la précédente expédition. Et de fait, à peine les ouvriers s'étaient-ils mis à l'oeuvre, que leurs pelles dégagèrent la première marche d'un escalier taillé dans le roc.

Le "Times" en fit un compte rendu détaillé en page trois. La dépêche suivante, en provenance de Louxor, eut droit en revanche à un gros titre en première page. Sir Henry Baskerville était allé se coucher la veille en pleine santé. On l'avait retrouvé le lendemain matin dans son lit, rigide et sans vie, le visage déformé par l'épouvante. Sur son front, on reconnaissait, grossièrement dessiné avec du sang, un uraeus, le cobra sacré des anciens Egyptiens, le symbole divin des pharaons.

Une fois encore, l'impavide Amelia Peabody, son mari, l'éminent égyptologue Radcliffe Emerson, et leur fantasque rejeton, le jeune Ramsès, devront affronter le mystère et conjurer la malédiction des pharaons.

Éditions LE LIVRE DE POCHE