Plus j’y pense, plus je crois à la complémentarité de la presse traditionnelle et de la blogosphère “sérieuse” à laquelle je tente d’appartenir. Nous avons la liberté de créer sans contraintes du contenu original, mais il est dissout dans les terabytes indexés chaque jour par Google, accessible uniquement à ceux qui chercheront. A l’inverse, la presse recherche ce contenu original qu’elle n’a que de plus en plus rarement les moyens de produire elle-même, mais qu’elle peut diffuser très largement.
Mesdames et messieurs les journalistes, nous sommes faits pour nous entendre…
A part ça, je prépare encore un ou deux articles pour les prochains jours, puis le mois d’août sera calme pour cause de vacances. Le stakhanovisme a ses limites.