Citoyens !
David Welch a introduit ce matin un concept intitulé “cheap chic“:
What many companies are attempting to do now has worked in the past. After the crash of 1929 few people could afford a Cadillac, so General Motors (GM) created a budget model to keep its luxury sales going.
En clair, les compagnies doivent trouver de nouvelles routes pour capturer la Génération Y puisqu’elle représente le futur de la consommation, mais n’a pourtant pas encore l’argent nécessaire pour répondre favorablement au positionnement des produits de certaines marques, au prix trop élevé.
Il y aurait une supposée traduction de cette approche cheap chic vers les Social media strategies ou développement de sites webs. J’insiste sur le supposé :
In addition to these new sites being less expensive to produce, the approach has to do with clients wanting more of an emphasis on igniting conversation and less on the rich, textured sites that have typically accompanied their campaigns. The goal, as EVB CEO Daniel Stein put it, is to “stop building $1 million microsites that attract [only] 10,000 visitors.” Too often those sites are “rich, deep and disconnected,” he said.
Ces plateformes sont peut être moins chères à produire (encore que) mais l’investissement à fournir pour engager et maintenir la conversation ne peut être pris à la légère. Il me semble dangereux d’utiliser le mot “cheap” puisqu’il peut véhiculer une image tout à fait erronée dans les départements marketing.
Ce qui est futé, flexible, simple et rapide ne peut pas être relié à cette idée de “cheap”. Les mots comptent, surtout pour justifier les projets Social Media.