Le dialogue contractuel devrait être basé sur des « critères d'attribution de moyens qui font le lien entre les attentes de l'État et les projets des établissements » et sur « une évaluation indépendante des résultats des établissements menée par l'agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur ».
Un autre aspect important sera l'« accompagnement sur mesure » des projets des universités par l'État. Un « bilan qui permettra de visualiser les forces et faiblesses de l'établissement » rendra cet accompagnement possible par l'estimation d'une dotation « globale ».
Quand le processus d'autonomie sera achevé et les dialogues contractuels bien en placent le financement se décomposera en trois tiers. Le premier basé sur « l'atteinte des résultats », le deuxième sur « la contribution à la stratégie nationale » et le troisième sur « la qualité du projet ».