Le Président connait une érosion parce qu'il entame deux blocs clivants pour le corps électoral républicain : la fiscalité et la bureaucratie. Mais tant qu'il n'entre pas en-dessous des 54 % de bonnes opinions, il reste en zone sécurisée.
Barack Obama perd à ce jour des bonnes opinions dans un électorat qui n'a pas voté pour lui en novembre 2008.
Il n'est pas encore à l'étape de subir le départ d'une partie de son électorat de novembre 2008. Il a encore quelques points d'avance.
Des Républicains s'en détachent parce que sa politique laisse entendre que les impôts pourraient augmenter et la bureaucratie aussi.
Mais le parti républicain est en total manque de leadership et sans politique de rechange.
Sur ce dernier point, ce sont les fondamentaux du néo-conservatisme qui doivent être actualisés. La tâche n'est pas aisée.