Mais voilà étrangement les avis sont partagés, certains pensent que ce musée pourrait non seulement participer au rayonnement du manga au Japon et dans le monde mais aussi redonner un coup de fouet à ce secteur qui est un peu en perte de vitesse.
D'autres comme Yukio Hatoyama (président du Parti Démocrate du Japon) estiment que le premier ministre se sert de l'État pour financer sa passion. Drôle de revers pour Taro Aso qui avait joui pendant quelque temps d'une belle popularité justement grâce à son amour clamé des manga.
On pourrait se demander finalement, si la question du financement de ce musée aurait était aussi passionnée si ça n'avait pas été Taro Aso qui avait lancé débloqué les fonds.