Le bonheur est tout proche. À portée de main, tant qu'on pourrait le toucher. Mieux vaut peut-être attendre quelques années : à être heureux trop vite, on risque de ne pas le supporter...
C'est un peu comme au tarot, quand on place l'Excuse : ne pas dévoiler trop hâtivement ses cartes, son jeu : botter en touche, quand on tente de vous faire parler. Une part de mystère, tout cela sous le haut patronage d'Henry James, omniprésent dans la vie de l'auteure...
Découvrez donc la chronique de L'Excuse, de Julie Wolkenstein.