Feu vert pour les libraires

La journée d'aujourd'hui aura été harassante avec la chaleur estivale cumulée à la pollution parisienne, mais après avoir visité une vingtaine de librairies (la plupart à Paris), je suis en mesure d'affirmer que l'on peut commander mon recueil de nouvelles de type space opera Les Explorateurs chez son libraire. Pour les connaisseurs, le livre est référencé Dilicom et Electre, c'est à dire qu'il se trouve sur les bases de données des libraires, et qu'il existe même une fiche documentée sur Electre. Si vous êtes libraires ou en connaissez un, merci de télécharger ce document où un libraire pourra trouver toutes les données  qui lui seront nécessaires pour nouer une relation de travail.
Pourquoi de telles visites ? Eh bien d'une part, pour pallier l'absence du diffuseur des Editions Lokomodo, qui a pris des vacances bien méritées, et d'autre part pour nouer des contacts. Et principalement, bien sûr, parce que je pense que les choses ne vont pas me tomber toutes cuites si je ne me remue pas un peu. Ce serait mentir que de dire que le livre a suscité l'attrait partout où je suis passé, mais lorsqu'il y avait un rayon science-fiction, je crois être parvenu à éveiller l'intérêt du chef de rayon.
Est-ce que ce que je subodore être des pistes de travail vont s'évanouir comme neige au soleil, sous l'effet de la canicule? J'espère que non. Me restera de toute façon la satisfaction d'avoir rencontré des personnes dont certaines étaient très sympathiques, et d'avoir engrangé une petite expérience de terrain.