à l'heure où je vous cause

A l'heure d'où je vous cause -(j'adore la langue française , pas vous? :-) ) et en tournant la tête légèrement sur tribord, je peux remarquer un ciel vêtu d'une cotonnade légère et prometteur de dessous à priori nettement plus affriolants.
M'enfin! je ne voudrais pas non plus trop m'avancer (d'ailleurs j'ai le vertige) les considérations météorologiques même si elles peuvent occuper les conversations et boucher les trous aussi bien qu'une vallée de silicone sont en ce qui concerne la situation géographique de l'estuaire aussi hasardeuses qu'un miracle à gogos dans la piscine de Lourdes ou que le sens de l'humour chez un militant de lutte ouvrière! C'est dire....
Mais vous en conviendrez avec moi- et si c'est pas le cas ben! heu! tanpis! C'est une entrée en matière comme une autre pour un mardi (qui est je le rappelle jour de repassage) et la soirée précédente sur la rive sud de la loire- (Vi! il m'arrive parfois de franchir le rubicon-con-) fut aussi aimable et charmante qu'emprunte d'une certaine mystique libationnelle (ça se dit ça?) ce faisant (et poule d'eau) qu' à onze moins le quart en ce 21 juillet (c'est pour montrer qu'on est en direct) j'en suis comme à la prison de la Santé à boire l'eau neuve de mes cellules.
Mais je tiens à préciser immédiatement - l'intégrisme galopant aussi vite que le mont saint- michel à dos de cheval, que je regrette bien évidemment ces excès,que je ne recommencerais plus avec modération, que la conductrice n'avait bu que du jus de fruit (moi aussi d'ailleurs) , que chacun avait un gilet jaune fluo (et rien dessous) du plus bel effet, des bandes réfléchissantes sur les joues, et un casque en nu intégral de couleur rose fushia, que nous étions accompagnés d'un véhicule d'assistance avec bloc opératoire intégré, qu'un hélicoptère ouvrait la voie des airs avec quelques chansons de marin, et des motards moustachus la route du pont de mindin.
Quel bel équipage n'est-ce-pas! -
Le décors de ce début de vacances étant ainsi posé, je me dois -éthique oblige- et toc! de répondre à quelques commentaires reçus ces jours derniers. Et j'en profite tout d'abord pour vous remercier de votre participation et vous prie également de m'excuser si mes réponses se font parfois un peu attendre, je vous lis avec grand plaisir mais parfois, "même en courant plus vite que le vent" -c'est une image bien sur- faut pas déconner non plus, je n'ai pas le temps- pas le temps! et voilà porque je vais faire si vous le voulez bien un tir groupé-
Couchez-vous! ;-)
-Anne des ocreries qui participe toujours présent, me pose un problème d'ordre technique concernant le feuilleton de l'été où bien sur votre collaboration est aussi souhaitable que bienvenue. Comme je ne suis pas un grand bricoleur du blogaillon et de ses multiples accessoires, après interrogation, réflexion, questionnement et toute la smala , j'ai - grâce à son aide- installé la chose en bas de page. J'espère que ça ira (ah ça ira, ça ira, ça ira) .
-Merci à Carole pour son ptit mot et comme on dit chez les gens biens, j'aime beaucoup ce que vous faites
- Le vigilent Rotko , une fois de plus met son "grain de sel" pour apporter un supplément et fort à propos complément d'information à mes babillages- je ne peux que l'en remercier .
-Et puis comme c'est mon jour d'amabilité, allez profitez-en messieurs, dames! y'en aura ptêt pas pour tout le monde, je salue respectueusement tous les Lecteurs habitués ou occasionnels, commentateurs ou pas qui passent sur mes rives fragiles. je me fais plaisir, figurez-vous, ici même et si celui-ci est partagé et bien j'en suis fort aise. N'hésitez cependant pas à critiquer, à prévenir quand je m'égare...
Bon! je cause, je cause, mais comme j'ai une galette jambon beurre, crème fraîche, ail et fines herbes qui m'attend sur le feu... Alors, permettez-moi de me retirer discrètement, de vous souhaiter une belle journée et de vous dire à très bientôt j'espère!
:-)
Quand la BISE fut venue!