Gens du voyage : «Claude Graebling, maire de La Wantzenau, fait savoir qu'il n'aurait « été convoqué » que lundi dernier, en vue de la réunion de mercredi soir présentant au public le projet d'aire d'accueil des gens du voyage commune à Bischheim, Hoenheim et La Wantzenau (DNA d'hier). Invité trop tardivement selon lui, il n'a pu se rendre à Bischheim, où André Klein-Moser a dialogué avec un public composé en grande partie de ses administrés. Le maire de Hœnheim Vincent Debes estime quant à lui n'avoir carrément pas été invité par le maire de Bischheim. « Bien sûr qu'il faut trouver des terrains (pour les gens du voyage) », ajoute-t-il, trouvant cependant que Hoenheim « va avoir les deux terrains prévus pour le nord de la CUS, soit 82 emplacements, à proximité de ses limites communales, alors que les problèmes de circulation et de prise en charge sociale et scolaire ne sont pas réglés » pouvait-on y lire (DNA).
J’ai suffisamment écrit sur le sujet pour hélas être d’accord avec les propos de Monsieur le Maire. Maintenant, que faire, se mobiliser « TOUS ENSEMBLE » et faire entendre la voix de Hoenheim lors de la commission d’enquête.
J’ai été élu sur une liste dont la position sur le sujet avait été son premier document de campagne. Comme vous me le rappelez par mail, je ne l’oublie pas. C’est pourquoi j’en ai parlé à Marielle Geoffroy qui a assisté aux dernières réunions sur le sujet. Il y a lieu de soutenir toutes les initiatives municipales, y compris majoritaires pour trouver une solution acceptable.
Schiltigheim : la tribune de Raphael Nisand fait également parler. Comment ne pas être sensible à l’évocation de la « recentralisation » ? Personnellement, je l’ai écrit, je suis pour une Eurométropole, mais aussi pour une dynamisation des composantes de la Métropole. Enfant de Schiltigheim, dont j’ai fréquenté les écoles après avoir vécu Rue de Rosheim, je ne peux que souhaiter que la Ville puisse devenir l’un des moteurs d’une future métropole.
Pourquoi pas, comme je l’ai souvent demandé (depuis 85) en se dotant d’un musée de la Brasserie, de parcours « brassicole » ¨(même si cela ne fera pas tout) ? Mais là encore, tout est à imaginer.