J’avais promis de ne plus en parler, tout en restant vigilant.
Mais là c’est trop : il s’attaque à mon idole, et de quelle façon ! Rien sur ses actes, tout sur des saloperies :
son physique : « On peut le prendre aussi bien, à première vue, pour un sérial killer sournois que pour le comptable du coin qui a filé avec la caisse. »
sa promotion canapé : « sur les talons de Jacques Delors dont il a été le factotum pendant 15 ans. (…) Si féroce que fût son ambition, il a reculé devant la perspective d’entrer dans la couche nuptiale en compagnie de Mademoiselle Martine Delors »
sa rémunération (tout en reconnaissant que celle-ci est loin d’être excessive au regard de ses responsabilités).
Et il repasse ça en boucle depuis deux jours.
Je le dis tout net à Nolats : ce mec est un blasphémateur de la plus détestable espèce (et pourtant, pire que moi question blasphème, il faut le faire).
Lisez et rendez-vous compte par vous-même de l’ignominie du mandarin :
"Il faut sauver le soldat Lamy"
Je ne sais d’ailleurs pas pourquoi je m’emporte ainsi devant cette nullité, car si Pascal Lamy le lisait, je suis sûr que lui en rirait.