Les aventures de FitzChevalerie se poursuivent tout aussi enlevantes. Le dualité paradoxale de son état de bâtard princier et d'homme-lige du roi avec celle de sa maîtrise du Vif (la faculté qu'il a de communiquer avec les animaux) et de l'Art en font une arme de plus en plus redoutable. Mais cela s'accompagne aussi d'une immense solitude. Pourra-t-il un jour être libre de faire ce qu'il veut? Mais peut-il laisser les Pirates rouges détruire le royaume des Six-Duchés? Peut-il laisser Royal manipuler le roi Subtil?
Ah! (main sur le front) Que de manigances! J'aime bien Royal dans le genre «méchant» qu'on déteste de toutes nos forces. J'aime tous les revirements. J'aime cette loyauté chevaleresque qui habite Fitz. Allégeance, quand tu nous tiens! J'aime les tentatives de meurtres(!), les conquêtes, les bouleversements de la cour, la reine-servante, les poisons(!). Palpitant. (Et mon piètre résumé ne rend aucunement justice à mon bonheur de lire.) PASSIONNANT, j'vous dis. 5/5