Et tant qu'on est dans les hommages hors délai, allons-y franchement et désolé d'avance car après trois semaines de deuil mondialisé, ce blog perd son label "100 % MJ free" et y va de sa petite célébration dérisoire... mais c'est juste parce que c'est seulement hier que m'est revenue en mémoire cette scène d'une grâce inouïe (et c'était juste avant que je lise ça) :
Mister Lonely (Harmony Korine 2007)
... grâce inouïe, disais-je, quand bien même la quasi-totalité du reste du film d'Harmony Korine est à peu près irregardable, sans doute en partie parce que l'auteur pousse à son comble l'identification avec l'enfant "génial mais autiste et qui en souffre tellement". Au moins, durant ce plan d'ouverture aura-t-il réussi à ce que "rien ne pose ni ne pèse"... Son moonwalk à lui, somme toute.