Il est des personnes que l’on trouve instantanément sympathiques. Il suffit de les croiser, d’échanger quelques mots avec eux, voir juste de jauger leur apparence pour qu’on les trouve incroyablement plaisants et agréables. On sait pas trop pourquoi mais leur seule présence rend une situation confortable. Ils produisent une excellente première impression, c’est une sorte de coup de foudre amicale. Ca ne s’explique par vraiment mais on a tous vécu cette instant de grâce.
Et bien, si l’on en croît une étude de l’Université de Tufts, ce rayonnement inexpliqué du quidam se répercute aussi sur sa présence virtuelle.
Dans le cadre d’un programme de recherche mené par l’université sus-nommée, 37 étudiants ont bavardé pendant 4 minutes avec des inconnus puis juger leur degré de sympathie. Parallèlement, les profils facebook de ces même personnes étaient également évalués par un second groupes de juges de la sympathie autoproclamés.
Je vous passe les détails des conclusions de l’étude mais il ressort - ô miracle - que les personnes à fort degré de sympathie en chair et en os correspondent aux profils qui ont recueilli le plus de suffrages sur l’échelle de Richter de la coolitude.
Ok, mais comment ça se fait ? Mystère… Parions simplement qu’à la source de cette attirance on ou off line l’impression d’honnêteté, de spontanéité et d’intimité nous a simplement poussé à admirer - sinon aimer - ces personnes. Celles là même qui assument si bien ce que nous n’osons pas livrer.
Enfin c’est qu’une hypothèse…
Reste que je sais pas si on se kiff bien sur Facebook mais, en attendant, qu’est ce qu’on se la pète.