Pour le futur pape, le petit Potter et ses camarades exerçaient « une séduction subtile et profonde (...) corrompant l'âme des jeunes chrétiens avant même qu'elle ne soit complètement formée ». Les vieux démons de la sorcellerie ressortaient...
Pour l'oeil hagard de l'Osservatore Romano, dans le dernier film « tout semble préparer et porter vers l'affrontement final entre le bien et le mal qui restent les vrais protagonistes de la saga (...) L'enjeu (...) est d'empêcher les forces des ténèbres d'avoir le dessus ». Le journal rappelle tout de même que les épisodes précédents étaient « nuisibles pour l'éducation et même anti-chrétien ».
Reste alors les sacro-saints fans, pour qui certains passages du livre ont disparu, et qui se retrouvent un peu déçus par une adaptation qui ne leur refait pas vivre l'authentique saveur du Prince...