Une nouvelle motivée par le prix de vente du livre neuf, dont l'éditeur n'était pas satisfait, puisque l'on passait de la version papier à 18 $ à celle très probable de la version numérique au tarif mystiquement attractif de 9,99 $. « Ça n'a aucun sens pour un livre neuf d'être vendu au prix de 9,99 $ », expliquait clairement Dominique Raccah, éditeur chez Sourcebooks.
En parallèle, on apprenait dans la même journée que les pronostics affichaient 3 millions de lecteurs ebooks pour la fin de l'année 2009. Les réticences de l'industrie dans ce secteur conduisaient alors l'analyste à cette conclusion : « Les éditeurs sont dans le déni concernant l'économie des contenus numériques. »
En outre, les prises d'otage dont Amazon sait faire preuve ne manquent jamais d'avoir des conséquences funestes. Pour le consommateur, ou l'éditeur. Alors doit-on s'attendre à une salve de résistance, qui prendra le maquis numérique pour boycotter un service encore mesestimé ?
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