AH l’été, cette belle saison des mariages a commencé. J’ai cependant trouvé un article qui pourrait finalement vous faire changer d’avis…
“Le mariage, “plus beau jour de la vie” ? C’est le programme, en tout cas. Mais juste après cette journée extraordinaire, la réalité reprend ses droits et c’est parfois douloureux. Le wedding blues est parfois intense… et pour le combattre, mieux vaut prévoir son arrivée.
Le wedding blues, déprime spécialisée
Le “wedding blues” n’a pas de vraie définition médicale. C’est simplement une période de déprime qui suit le mariage et peut durer quelques jours à quelques mois. Mais il ne faudrait pas le sous-estimer, d’après Frédérique Back, thérapeute qui anime des préparations au mariage: “il s’agit d’une perte de repères qui peut être très douloureuse, et même déclencher des troubles profonds.”
Une définition en trois temps
Si, après le mariage, la déprime pointe le bout de son nez, c’est parfois à cause d’une déception: malgré tout ce travail, la fête n’a pas été à la hauteur des attentes. Ou alors, même si tous les détails se sont avérés parfaits, ce sont les sentiments qui n’étaient pas au rendez-vous, noyés sous le stress et toutes les autres émotions. A plus long terme, les couples peuvent parfois ressentir un vide dû à la fin de ce projet de longue haleine. Pendant des mois, ils n’ont pensé à rien d’autre ou presque… et en vingt-quatre heures, tout est fini. Mais après le mariage, il y a aussi une période de deuil des attentes déçues: non, les mariés ne disparaissent pas dans un nuage étincelant pour “vivre heureux et avoir beaucoup d’enfants”. Le lendemain, le couple est le même. Et ce n’est pas parce que l’amoureux, est devenu un époux, qu’il aura du jour au lendemain perdu ses petites habitudes (ou ses grands traits de caractère) agaçantes.”
Source : www.e-sante.fr
Charles Aznavour avec Annie Cordy - Tu t’laisses aller