La vie, cette aventure dont vous êtes le héros
Le héros leibnizien de Truman Show, le héros perdu dans un décor factice, le héros de rien du tout, en somme. Même pas l'antihéros. l'homme de la rue, celui qui croit que le décor cache quelque
chose d'autre, comme le visage masquerait la conscience. Le visage est plutôt signe de l'inconscient, car nous ne maîtrisons que peu ce que nous montrons. le décor, de même. Et ce type qui découvre
que tout est leurre, trottoirs peints à l'infini, trompe l'œil, masques, mascarade.
C'est une pub, il y a donc une issue. Mais tronquez cette pub de sa fin et vous aurez une fable (comme le jeu vidéo du même nom), une fable avec le titre que vous voulez, le décor que vous désirez,
vos choix mille fois répétés.
Et même si tout est faux, il restera cette vérité que tout est faux et ça, c'est Desacartes qui file le bourdon à l'immonde monade leibnizienne.