J'ai donc empoché ma petite feuille de condamnation, ô paperasse de l'infamie qui m'entacha à tort, et me voilà partie en direction des bureaux dudit Officier, qui se trouve comme chacun sait, au commissariat (en fait, pour le savoir, j'ai dû écrire un courrier électronique au Trésor public, qui m'a gentiment répondu, mais oui ! merci mon Trésor ^^) Arrivée au commissariat, je laisse mon véhicule, juste devant ... sur le trottoir (ben quoi, je roule à vélo... qui est un véhicule comme les autres mais on a quand même le droit de le garer sur le trottoir, comme les motos. Va comprendre, Charles). On* m'accueille, on* me décore d'un badge, on* téléphone au bureau concerné (*on, c'est une jeune policière en uniforme que je remercie de son accueil mais pas de son ignorance... mais c'est une tradition dans ce commissariat : un jour je vous raconterai l'histoire du vol de mon portefeuille, quand vous aurez deux bonnes heures devant vous), j'attends un peu, on* me signifie gentiment que je peux monter. J'arrive au 3ème étage, je me glisse au bureau 62, long encombré, faut avancer en biais jusqu'à la
J'ai donc empoché ma petite feuille de condamnation, ô paperasse de l'infamie qui m'entacha à tort, et me voilà partie en direction des bureaux dudit Officier, qui se trouve comme chacun sait, au commissariat (en fait, pour le savoir, j'ai dû écrire un courrier électronique au Trésor public, qui m'a gentiment répondu, mais oui ! merci mon Trésor ^^) Arrivée au commissariat, je laisse mon véhicule, juste devant ... sur le trottoir (ben quoi, je roule à vélo... qui est un véhicule comme les autres mais on a quand même le droit de le garer sur le trottoir, comme les motos. Va comprendre, Charles). On* m'accueille, on* me décore d'un badge, on* téléphone au bureau concerné (*on, c'est une jeune policière en uniforme que je remercie de son accueil mais pas de son ignorance... mais c'est une tradition dans ce commissariat : un jour je vous raconterai l'histoire du vol de mon portefeuille, quand vous aurez deux bonnes heures devant vous), j'attends un peu, on* me signifie gentiment que je peux monter. J'arrive au 3ème étage, je me glisse au bureau 62, long encombré, faut avancer en biais jusqu'à la