Karis

Publié le 10 juillet 2009 par Joss Doszen
Les après-midi arrosés et enfumés qui me rendaient malade ; pour les autres ce n'était que les réactions post-traumatiques d'une ado que l'absence du père rendait de temps en temps dépressive. Les week-ends chez la cousine Joane qui se transformaient en soirée appart ou dans des boîtes qui jugeaient de la majorité des filles au kilo de chair qu'elles se trimballaient. Et surtout toutes ses conversations entre filles qui ne tournaient presque exclusivement qu'autour des mecs et du sexe ; conversations (...) - 3200. Le clan Boboto