C’était en début de semaine, lundi matin. J’étais à mon poste de travail avec mon café depuis une bonne demi-heure, pour terminer un boulot à livrer rapidement. Plus qu’une validation de l’envoi de mes fichiers et un mail au client pour lui dire que tout était prêt quand… ah…. tiens… écran bleu.
La (cruelle) loi de Murphy
C’est cette loi qui dit que lorsque une cata peut arriver, elle finit toujours par arriver. Par exemple, c’est évidemment quand vous avez une présentation super importante à faire que votre démo (qui marchait parfaitement jusque là) plante ; c’est quand vous avez votre mémoire à rendre dans une heure que votre imprimante choisit de vous dire qu’elle n’imprimera plus une seule page parce qu’elle manque d’encre (et évidemment vous n’avez pas le temps d’aller acheter une cartouche, ou selon un deuxième degré, vous avez tout juste le temps de vous précipiter chez votre revendeur du coin, mais c’est justement aujourd’hui qu’il a décidé de fermer exceptionnellement pour inventaire…).
Bref, la loi de Murphy est cruelle. Et s’il y a bien une population qu’elle touche le plus, c’est le monde de l’informatique. Ainsi donc, lundi matin, je ne me suis pas effondrée face à ces deux écrans : j’ai repris un café, redémarré mon poste, et attendu une demi-heure que Windows veuillent bien examiner mon disque dur et me redonner accès à mon boulot.
Rester zen, mais se bouger quand même
Il n’y a pas grand chose que l’on puisse faire quand les éléments se décident à aller de travers. Il faut juste rester zen et attendre que ça passe. Un écran bleu windows, c’est tellement classique… vraiment pas de quoi s’affoler. Quoi que ?
Lundi j’ai pu redémarrer, et toute la journée je me suis rappelée qu’il serait peut-être temps de réinstaller mon poste, après une bonne sauvegarde générale. J’avais d’abord des paperasses à finir, puis une réunion, puis une autre. Et hier, il me fallait absolument faire les 3 mois de compta que j’avais en retard pour boucler ça avant de partir en vacances bientôt. Finalement, je pourrais faire ma réinstall tranquilement dans le week-end… Sauf que ce matin, j’ai à nouveau eu ces écrans bleus au démarrage. Et là, impossible de redémarrer. Ma machine a refusé toute négociation.
Bref, quand il s’agit d’un écran bleu, on peut rester zen et accepter les coups du sort… mais il vaut mieux réagir vite !
loi de Murphy, windows