1ère arrivée en altitude pour les coureurs de la Grande Boucle. De l'avis de C. Prudhomme, pas forcément l'étape pour les grandes manoeuvres (Astana ou Columbia pourraient vérouiller la course pour leur leader). Mais pourquoi pas l'étape d'un grand numéro !
Le commentaire de Christian Prudhomme (letour.fr)
L’entrée précoce du Tour dans la montagne se fera sur un mode brutal, avec un col de première catégorie et une des arrivées les plus « haut perchées » de l’histoire du Tour, à 2 200 mètres d’altitude. Pour autant, nous ne serons pas encore à l’heure des grandes manœuvres. La répartition des difficultés sur l’ensemble de l’épreuve, ainsi que la longueur de cette première étape pyrénéenne, pourraient permettre à un audacieux, échappé de la première heure et solide grimpeur, de saisir sa chance à Arcalis.