Encore aujourd’hui, les assurances n’apportent aucune protection financière contre les risques immatériels informatiques encourus par l’entreprise comme les virus, le hacking, etc. En effet, les assurances de matériels informatiques (contrats dits « Tous » Risques Informatiques) couvrent le vol, le bris, la dégradation, etc. et les assurances de Responsabilité Civile Professionnelle protègent l’entreprise des dégâts causés par leurs employés chez des tiers.
Or une étude du Clusif (Club de la Sécurité de l’Information Français) a révélé en 2008, que 72 % des entreprises possédant un antivirus à jour ont été victimes d’un virus, 40 % des entreprises ont vu leur système pénétré de l’extérieur et 86 % des entreprises touchées ont dû financer seules le sinistre.
Devant la multiplication de ces actes de malveillance (+ 500 % depuis 2 ans), et les conséquences financières dramatiques de la cybercriminalité, Assinco a cherché une réponse à deux questions :
- Comment gérer efficacement les risques immatériels liés aux piratages informatiques (cheval de Troie, virus, vers, …) ?
- Et comment financer les dégâts causés ?
Assinco, en partenariat avec SDN International, a trouvé une solution audacieuse : « Cyberprotect ». Première et unique solution « packagée » pour la gestion du risque d’attaque cybercriminelle, cette offre combine un service de télésurveillance de la sécurité informatique de l’entreprise et une assurance financière.
Cette solution est proposée à toutes les entreprises et collectivités locales, quelles soient mono site ou multi-sites.
Le boîtier de télésurveillance « Cyberprotect » est installé entre le dispositif de sécurité du client et son réseau interne. Il évalue en permanence les flux et vérifie la qualité de la sécurité informatique et son efficacité. Tout dysfonctionnement est alors pris en charge par la plate-forme de télésurveillance pour procéder à une levée de doute. En cas de confirmation d’attaque (hacking ou virus) une alerte caractérisée est donnée à l’entreprise afin qu’elle mette immédiatement en œuvre les mesures protectrices nécessaires et qui lui sont alors indiquées. Le boîtier agit aussi comme une boite noire et conserve de manière sécurisée la traçabilité des flux sur une période d’un mois, ce qui constitue des éléments de preuve en cas de sinistre.
Lors d’un sinistre, les éléments de preuve sont essentiels pour permettre le remboursement rapide des dégâts. En cas d’attaque avérée, ASSINCO prend alors en charge le remboursement :
- des frais directs : décontamination virale informatique, reconstitution de données, frais supplémentaires d’exploitation informatique,
- des dépenses annexes : honoraires d’expert, dépenses de communication
Commercialisée sous la forme d’une offre « packagée », l’assurance « Cyberprotect » a été développée conjointement avec le leader mondial en assurance de risques immatériels informatiques ACE Europe.