Voilà pratiquement deux jours pleins et entiers que je n'avais pas ouvert mon google reader. Et le pauvre là, il est à bloc. Il faut dire que j'accumule les flux, sans vraiment me rendre compte de l'ampleur de la lecture que ceux-ci vont me donner. Non pas que je lise entièrement les quelques cents fils que j'ai répertorié mais lorsque je vois s'accumuler en haut de la page le compteur des posts non lus, il me vient une flème oculaire puis neuronale affligeante.
Prenant mon courage à deux boutons de souris, je m'y suis mis. Rapide coup d'oeil des différents groupes : actu, écriture, geek and co, musique et un peu (pas trop) de politique. Avant de commencer à travailler, une petite revue d'une demi-heure entre le premier rayon de soleil qui perce le store et un grand café fumant dans son mug. Voilà ce qui a retenu mon attention :
Google lance un nouvel OS pour netbook. Décidément, web et google vont rapidement former un pléonasme si ça continue comme ça. Je poursuis avec le phénomène twitter qui n'en finit pas de devenir un phénomène. Il faudrait peut être qu'on commence à penser comment il va perdurer et quel sera son futur modèle économique plutôt que se demander si on est accro. ou pas. Dans le cas contraire, j'ai bien peur que le réseau social du siècle explose en vol. Bienbienbien, pour sa part, relate les différents clashs survenus sur le réseau du piaf avec la délicieuse altercation entre Benoît Hamon et Marc Vasseur : une autre façon de faire du débat public.
Egalement dans mon reader ce matin, un billet qui parle du contenu d'un autre reader, une sorte de poupée russe ou de serpent que se mord la queue en somme mais à l'intérieur une série de liens du coeur comme dit son auteure.
Je déroule et me plante en arrêt devant le faucon qui a shooté un écureuil, moment délicieux au coeur de l'été.
Elle me va cette dernière image, je peux cliquer sur la petite croix en haut à droite et me remettre au travail.
(le titre du billet veut rien dire hein? comme souvent)