Et on ne va pas lui donner tort, tiens !
« Je pensais, naïvement, naguère, que seuls les journalistes supportaient mal que l'on ironise sur les écrivains. À celui qui se risque à quelques lazzis sur tel romancier surévalué ou tel journaliste littéraire peu regardant sur la déontologie, on présente vite la note à payer. La critique vache est toujours considérée comme salissante. »
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