Après quelques participations à sur des albums compils (dont le remarqué Dylan Mania de B. Ardisson), Kumisolo sort son premier album solo (disponible pour le moment au format électronique, le support CD n’étant prévu qu’à partir de la fin du mois de septembre).
La culture japano-manga avait ses BDs, ses films d’animations, ses jeux vidéos, ses codes vestimentaires, ses expositions (Japan Expo qui s’est tenue du 2 au 5 juillet), elle a aujourd’hui sa musique!
Une électro-pop aux sons synthétiques de type jeux électroniques ou dessins animés, dans laquelle est abordé, avec beaucoup de (fausse) naïveté et de candeur, les problématiques de l’amour entre filles et garçons (celles rencontrées entre 14 et 18 ans).
Après une première écoute déroutante (quelle belle sensation de perdre encore ses repères), on découvre une vraie personnalité, un nouveau genre de musique et plusieurs niveaux d’écoutes qui rendent Satellite Song et l’album très attractif. Outre un public jeune, cette musique va aussi émouvoir les post-ados, les adulescents (trentenaires en mal de quelques moments de régressions) ainsi que la frange la plus branchée des nuits parisiennes.
Reflétant une culture encore peu et mal reconnue, l’incompréhension (pour ne pas dire le rejet) de cette musique par les milieux soit disant bien pensant et conservateurs, pourrait rapidement faire de Kumisolo une icône “hype” et fortement contribuer à son succès.
A l’écoute après le break
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