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Résumé de l'étapeInterview du vainqueur de l'étape
Marc Cavendish
Sujet magazine
Le pronostic des journalistes pour la victoire finale
(Contador ? Armstrong ? les frère Schleck ? Sastre ? Menchov ? Evans ? ...)
Les réactions
Alberto Contador (ESP/Astana): «Je ne vais pas commencer à commenter la tactique de l'équipe, que chacun tire ses propres conclusions. Le Tour ne va pas se jouer sur ce qui s'est passé aujourd'hui, ce n'est qu'une situation de course de plus. Ce sont des différences insignifiantes, qui peuvent même me laisser plus de marge de manoeuvre (...) De toutes façons, nous étions bien positionnés, parce que nous avions trois hommes devant et que nous avons laissé aux autres la responsabilité de tenir la baraque.»
Johan Bruyneel (Directeur sportif Astana): «J'étais d'abord convaincu que le peloton allait revenir sur les échappés. Mais à 10 km de l'arrivée, j'ai décidé que Popovych et Zubeldia
devaient collaborer, d'abord pour compliquer la tâche des autres équipes, et ensuite parce que ce serait une bonne situation pour nous si Cancellara conservait le maillot jaune après la
contre-la-montre par équipe. Ca nous serait très utile dans les jours suivant. La cassure? C'était vraiment une surprise, mais ce n'est pas normal que tous les favoris aient été piégés. La
plupart des gars se sont retrouvés derrière, et nous n'avions vraiment pas planifié d'être dans une échappée. C'est juste arrivé comme ça.»
Cadel Evans (AUS/ Silence-Lotto) : «Comment je me sens ? Mal. Mais c'est le Tour, tout peut y arriver. C'est pourquoi le Tour attire tellement les gens. Les jours les plus dangereux sont ceux où on ne s'attend à rien. C'est ce qui est enrageant. Nous avons roulé toute la journée devant et ça c'est passé en quelques secondes. Alors que toute la Columbia roulait devant pour couper le vent à Cavendish. J'étais un peu trop à l'arrière, en 40ème position, quand c'est parti. Seule la Silence-Lotto a chassé, je n'ai pas vu les équipes des autres candidats au classement.»