Le président du Honduras, Manuel Zelaya, a été renversé par les forces armées.
Le Parti socialiste condamne le coup d’Etat. L’ordre institutionnel doit être rétabli. Au Honduras, comme ailleurs en Amérique, le respect des règles de la démocratie s’impose à l’institution militaire, au pouvoir judiciaire, aux élus et aux citoyens.
Il reviendra au chef de l’Etat une fois rétabli dans ses fonctions d’ouvrir un dialogue avec les corps constitués afin de trouver un compromis démocratique au contentieux constitutionnel à l’origine de cette crise.
Le Parti socialiste espère que l’ONU, l’OEA et le Mexique, comme médiateur, pourront au plus tôt trouver une solution permettant le retour de la normalité institutionnelle et démocratique.