Qui c’est qu’elle aime bien, AnaGBMF, qui c’est qu’elle aime bien? C’est Will Ferrell! Et son excellentissime site Funnyordie. Même si être amateur depuis la France, c’est parfois casse-couille. Il y a au moins une information qui peut devenir planétaire, celle des quatorze films que le dit-Ferrell et son buddy Adam McKay (Anchorman, Step Brother : clique! clique! clique!) nous recommande avant de passer l’arme à gauche. C’est joyeux? Bah si, c’est joyeux. Et même qu’il y a du drame, là-dedans.
A l’heure où je vous écris, j’ai fait quelque-chose de stupide, car via twitter, je me suis en quelque sorte juré de répondre à chandleyr à propos de mes 10 films cultes. Oui. Mais en attendant, comme j’ai une liste mais rien d’écrit, je vis mon article par procuration. Voilà les… quatorze films à voir avant de crever par des génies de l’humour. Le croustillant? Quand les extraits parlent de quelque-chose de… hum… funny.
- Goodfellas => Go fuck your mother! [McKay : Allez, merde. J'aime menti. Ce film est une force de la nature et ne peut pas être retiré de la liste. Je le regarde avant tout film que je tourne. C'est carrément faire une formation en cinéma de deux heures.]
- Election => Who cares about this election? [McKay : c'est vraiment parfait dans le sens où le film combine la macro et la micro société. Et aussi, c'est vraiment un humour acéré. C'est une narration mélangée, comme un noeud gordien [ndlmoi : un problème inextricable]. Je vis dans la crainte de ce film.]
- The Man Who Would Be King =>You think I’m a god?! Ah ah [McKay : Caine et Connery et le testament d'Alexandre le Grand. Plus une bande-originale immense.]
- Tin Men => You wanna get chinese! [McKay : J'ai été tentée de le mettre en numéro 1. Le plus grand film du genre "les hommes ne grandiront pas" jamais fait. La musique est à tomber aussi. J'adore la performance de Jackie Gayle et le dialogue bancal : "You wanna get Chinese!" "J'irais chercher de la soupe Won Ton."]
- Cinema Paradiso => Fine… [Ferrell : Dites que je suis une couille de fromage (niaha) si vous voulez, mais je pleure comme un nourrisson à chaque fois que je vois ce film. Emouvant et poignant et italien.]
- Nights of Cabiria => Huh… Fellini [McKay : On ne le voit pas constamment dans les listes des meilleurs films de Fellini mais c'est magnifique, triste et Gulietta Messina est étonnante.]
- Airplane => Where did you get THAT dresss? [McKay : Je l'ai vu six fois au cinéma. J'ai pleuré jusqu'à ce que j'en pleure, à chaque fois. Si la comédie est un exercice si simple, pourquoi on a pas 100 films aussi drôles? Je peux croise qu'il y en a peut-être quatre ou cinq qui s'en approche.]
- Series 7 : The Contenders => There’s nothing i can’t do for my baby! [McKay : Un film qui avait dix ans d'avance sur son temps. Ca allait au bout des possibilités de la télé réalité alors que cette période débutait mais ça n'avait rien de facile. Cette oeuvre fine n'a jamais reçu son dû.]
- The Exorcist => Va-t’en ! La truie est à moi ! Baise-moi ! Baise-moi ! [Ferrell : Un film incroyable qui vous effraie jusqu'à la b°°° au possible sans beaucoup d'effets. Une incroyable utilisation de la lumière et de la bande-son pour construire la peur.]
- Mail Order Wife => I like pigs the way they are [McKay : Une autre oeuvre fine qui n'aura jamais eu son moment de gloire. Fait à la açon d'un faux documentaire dans un style cartoonesque proche de The Office ou de Spinal Tap. C'est sombre et déstabilisant et bizarre.]
- Rear Window => We can say he was living the perfect life [Ferrell : On pourrait choisir n'importe lequel des films de Hitchcock, mais celui-là est le premier que j'ai jamais vu, et quel lieu fantastique... Y-a-t-il jamais eu quelqu'un de plus beau à l'écran?]
- The Sound of Music => DO MON DO IL A BON DOS RE RAYON DE SOLEIL D’OR… [McKay : Dans ce film, il y a cinq des plus grandes chansons et le film entier traite de la nature anti-créative du nationalisme. the whole movie is about the anti-creative nature of nationalism. De la subversion que les enfants peuvent regarder!]
- Tron => This is it, come on [Ferrell : Regardez juste ce film pour vous souvenir de ce qu'il a créé et puis, pendant un bref moment, il y a aussi eu la balade de Tron à Disneyland.]
- Flirting with Disaster => Le choix Shakespearien [McKay : Je ne pense pas personnellement que David Russell ait jamais fait de mauvais film. Celui-ci pourrait être simplement son meilleur. En fait, j'ai été tenté de choisir Punch Drunk Love mais Flirting with Disaster le bat grâce au trip à l'acide d'un Richard Jenkins tout nu. Putain de merde, c'est dur. Punch Drunk Love est complètement fou parce qu'il ose livrer la poursuite la plus anti-américaine : la fantaisie. Jon Brion livre un score tellement beau que je pense que les gens ne peuvent pas prétendre qu'il n'existe pas, parce qu'il contraste tellement avec leur vie de tous les jours.]
Pour cette dernière place, je suis la première à dire que je suis d’accord! Promis, Punch Drunk Love fait partie de la liste promise, promis.
account. Lost the email? Click here to have another confirmation email sent.14 Movies Will Ferrell and Adam McKay Think You Should See Before You Die
What movies do the writers of Anchorman and Step Brothers deem the most important to see? Check out their combined list of fourteen. « Previous Next »Flirting With Disaster
I personally don’t think David Russell has ever made a bad film. This quietly may be his best. I was tempted to pick Punch Drunk Love but Flirting With Disaster edged it out because of Richard Jenkins nude acid trip.
The hell with it, it’s a tie. Punch Drunk Love is insanely underrated because it dared to indulge in the most anti-American pursuit there is: whimsy. Jon Brion’s score is so beautiful I think people had to pretend it didn’t exist because it would contrast too much with their everyday life.
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