Certes, le secteur du livre de voyage ne représente pas un morceau dans lequel WH Smith pèse lourdement, avec moins de 5 % du marché. Mais comme ce qui compte, ce sont les réactions des clients et que ces derniers sont satisfaits, répète-t-elle, alors aucune raison de s'émouvoir de la situation.
Du côté de la Guilde des auteurs de guides, Melissa Shales reste dubitative : comment ont-ils calculé et mesuré l'impact de cette mise en place, et les réactions des clients ? De même, alors que nous entrons en pleine période estivale, si préjudice il y a, il faudra qu'il soit d'une manière ou d'une autre compensé et que les mesures appropriées soient mises en place.
Deux éléments s'opposent néanmoins dans cette histoire : d'abord la restriction du choix, mais d'autre part, l'achat même du guide : est-ce réellement à quelques minutes ou heures de son départ que l'on se soucie de savoir ce qu'il y aura à visiter ?