Malgré notre caractère affable et toujours égal, il y a des stars que nous ne pouvons pas encadrer. Malgré une bonhommie certaine et un physique évoquant la mère nourricière et protectrice, Valérie Damidot ne parvient pas à nous séduire.
ce n’est pas un ravalement de façade qui la sauvera…
La voir en peinture est un vrai supplice à la rédaction qui ne cache pas son mépris pour l’art abstrait (ndlr. oui, je pousse un peu). Des goûts et des couleurs nous diront nos lecteurs les plus enclins à la faiblesse… mais ce n’est pas un ravalement de façade qui la sauvera… car on a largement dépassé le simple « il faut juste la rafraîchir un peu» !
Certes, Valérie présente des qualités certaines : un revêtement durable, l’absence de besoin d’une sous couche… Hélas, à la vue de sa candidature, il est facile de dire que nous sommes nettement plus proche du concept de « Le chantier» (ndlr. émission testée et approuvée par Cindy Sanders) que de « D&Co» …
Analysons sa candidature :
Signes précurseurs
- Femme battue, même si son compagnon aurait déclaré « je lui transmettais ma passion du bricolage à coups de marteau« .
- Est tombée en dépression et a donc naturellement fini par travailler avec Mireille Dumas (ndlr. joignant l’utile à l’agréable)
- Bercée d’illusion, elle devrait prochainement faire son apparition en tant que « comédienne» sur M6.
Facteurs aggravants
- Sans diplôme, elle devient journaliste comme ça, sans connaissance… elle aurait était une candidate idéale pour Christine Bravo (ndlr. et devenir groschroniqueuse)
- Un entourage douteux en tant que Nounou des élèves de la Star Academy de Nikos Aliagas.
- S’épuise à la tâche : Animatrice, actrice de spots de pub pour les cuisines Hygena ou la marque Gifi (ndlr. le Luxe n’est pas pour elle),…