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La plus grande douane de Portugal elle ce situe a 100 km de Salamanca en Espagne et 34 km de la ville la plus haute de Portugal et d'Europe Guarda à 1056 mètres d'altitude à 7 km ce trouve une splendide rivière du nom de rivière "Coa", jadis les Portugais passaient la frontière pour immigré dans le nord de l'Europe, tout les immigres connaissent cette frontière, un peu d'histoire : à l'époque de la dictature en Espagne sous "Franco" et au Portugal sous "Salazar" les Portugais ce risquaient sur cet axe au passage en douce pour échapper à la dictature et a la faim, plus connu l'histoire de Linda de Sousa une chanteuse portugaise immigré en France avec ça célèbre chanson "la valise en carton" montre bien l'époque des grands dépars vers l'eldorado d'ici le peuple Portugais à une fois de plus prouver dans le temps que la conquête du monde ne ce fessait pas seulement par la mer mais aussi par la terre, à l'époque l'argent était "l'escudo" plus faible que ça rivale la "peseta" le change était une vraie mine d'or pour les commerçants alentours cette ville regorge de café restaurants dédier aux voyageurs qui ce reposaient après avoir tracer l'Espagne par une route national, car les Portugais ne s'arrêtaient pas les espagnoles ne les aimaient pas trop la route pour arriver a la mer depuis la frontière étaient encore longue , il fallait 4 heures pour arriver à Aveiro et 7 heures pour arriver à Lisbonne , 30 ans après ce jour enfin la connexion d'un bout a l'autre entre la France et la capitale Lisbouette ce fait par autoroute.
Les points d'intérêts de Vilar Formoso, la frontière entre l'Espagne et le Portugal, la locomotive à vapeur, la gare et ses carrelages bleu typique contre les murs, la vielle frontière, la vielle ville historique avec son église qui date de quelques siècles, la fontaine « shafariz », et le tourisme rural ainsi que la gastronomie axe sur la viande et la binouse , car ici l'Europe qualifie cette région comme ayant le plus grand nombre de buveur de rouge de table et d'alcooliques au kilomètre carre par la même occasion.
Autour à 6 km .la Rivière Coa avec son camping sur les rochers, ici est venu s'installer un Allemand qui est tomber amoureux en 1989 de l'endroit et ne l'a plus jamais quitter il gère d'ailleurs ce mini camping et veille au bon respect de l'endroit rocailleux mais si fragile par les incendies à répétitions sur la route national pour aller à Guarda.
Castel bom est un très vieux village surplombant la rivière avec un point de vue imprenable.
Un autre point d'intérêt les 2 ponts d'autoroute sont à plus de 150 m de haut une œuvre très impressionnante avec des pilonnes très verticale à vous donner le mal de mer .
6 km de Vilar formoso ,Poço veilho, puis Nave de haver et Aldeia da ponte sur la route pour aller à Sabugal ses villages sont le long de la ligne de démarcation entre le Portugal et l'Espagne en descendant vers le sud, à l'époque de la dictature, les Lusitanien fessaient de la contrebande de café qu'ils revendaient de l'autre coté, ils portaient des sacs de 50 kilos à travers la sierra Peña de Francia 1732 m d'altitude , chaine montagneuse à 30 km de la et à travers de rivières gelés, l'alcool d'eau de vie aidaient même les jeunes à résister à de tel défis,d'où aujourd'hui ça réputation qui la précède , au retour ils revenaient avec un « pao español » qui pouvait ce garder plus d'une semaine s'était un signe de réussite et de pouvoir nourrir ça famille .l'eau de vie ce fessant avec les restes de la fermentation des raisins ayant déjà servit pour faire le pinard, un homme passait et passe toujours avec un alambique pour distiller l'eau de vie, au passage il ramassait ça contribution, l'alcool ce gardait dans des Garafon (conteneur) de 5 litres en verre recouvert d'une protection plastique blanche, les Portugais possédaient également une gourde en cuir qu'ils gardaient en bandoulière, au besoin ils étaient fiers de montrer leurs savoir faire en buvant au pi de la gourde sans laisser tomber une goutte de rouge sur eux et l'éloignant le plus possible de mode a avoir les bras complètement déplier et droit vers le ciel, je vous laisse imaginer des groupes ce passant la gourde, l'amitié commençait souvent par une « bourachére » « cuite collective » les yeux vers le ciel cachant un nuage aux allures d'un visage comme pour cacher au seigneur la réalité des faits par la gourde qui par effet d'éclipse entre le nuage la Gourde et ses yeux éloignerait de leurs vue pour un moment la colère de dieux.
un véritable savoir faire au début pendant et a la fin du breuvage la gourde étant l'actrice qu'il ne faut surtout pas couvrir de honte, le vin étant la menstruation partager par l'équipe d'amigos mains dans la main dans leurs stupide logique mais qui de droit nous transporte dans une série d'action révélateurs du machisme d'antan. ( taureau, gourde, tauromachie, paysan, fumier, ânes, analphabétismes un cocktail explosif pour une jeunesse qui allait découvrir le monde et tout ce qui va avec.
Les corridas étaient l'apogée de la fête beaucoup de villages comme Nave de Have, Aldea da ponte et possèdent leurs propres corrida ronde avec des banc en ciment des taureaux si si... , sauf que à la Différence des pingouins s'est comme cela qu'ils donnent un petit nom aux espagnols sauf qu'ils ne tue pas les taureaux mais ils les piques quand même à mort (la piqure, le sang) un traumatisme pour un enfant, s'est pas pour rien que ensuite on crée des poli toxicomanes dans un monde meilleur.
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Pour revenir à mon sujet, ces villages n'ont que peu d'habitants durant l'hiver, la plupart des maisons sont d'ailleurs fermer et vides , mais l'été les immigres ils multiplient la population à retrouver les familiaux qui sont partis faire leurs vie à l'étranger , les immigres achètent des centaines de kilos de viande à la frontière à Fuente de oñoro bien sur tout cela en passant la douane en douce sans que rien ne les gènes , mais pour un passeur de drogues s'est pas la même chose !!! pour eux....pour la congeler et faire des grillades tout au long de leur moi de vacances d'où encore une preuve de leurs origines de carnassiers et de paysans qui aiment tuer et transformer le cochon en saucisson avec un bon fromage « Da Serra » et un pinard et une patate cuite voilà qui nous rappel la France, sauf que le franchouiard en plus est fan de ça baguette et de son croissant, le « caralhlo » préfèrera une natta ou une soupe au choux, baignant dans une farniat, grosse saucisse à cuire.
à 12 km Almeida (route pour aller à Almeida, ville forteresse et Figueira de castello rodrigo) plus loin (peintures préhistoriques les plus anciennes du monde).
Almeida
Situe à 12 km de Vilar formoso, Almeida est une ville forteresse elle est classer à l'UNESCO, son originalité réside du fait que le fort a été construit en forme d' étoiles avec douze pointes, intacte depuis des siècles et après le passage de Napoléon Bonapart qui en avait fait ça garnison , s'est aujourd'hui la préfecture de la région cette ville garde tout son charme historique, ses portes médiévale et son patrimoine à visiter absolument.
La région « Beira alta » au centre du pays est une enclave entre la Seirra de estrella à coté de Guarda avec ça cathédrale au sommet et ça ville perché , la Peña de Francia célèbre pour son couvent au tuiles noir au sommet de la montagne,ça fête de la virgem négra (vierge noir)et la La Alberca pour son Jamon serano au pied de la Peña de Francia qui ce trouve dans la Sierra de Gatte le plus cher et rechercher au monde et ses maisons de plus de 800 ans d'age construites avec des poutres entrecaller de pierres au toit rapprocher entres eux pour couvrir la pluie dans les ruelles.
En revenant de cette région aux châtaigniers , nous trouvons à cote Cidade rodrigo ,elle aussi ville forteresse et historique à plus ou moins 30 km égale distance entre la frontière et la Alberca.
Cette ville est la 1 ere grande ville en Espagne au croisement entre Salamanca, Caceres, Vilar Formoso et Zamora.
Du point de vue des Portugais l'intérêt de cette ville était que c'était dans un sens la dernière avant d'arriver et qu'il Fallait s'arranger pour ce mettre en valeur au cas ou l'on verrait des gens connut ou qui nous connaissaient il fallait ne pas venir comme des « gandoules » des chiffonniers pour ne pas ce montrer sales aux gens qui auraient pu nous voir, comme la route était longue à travers l'Espagne et être présentable pour montrer une image de réussite aux travers des yeux des habitants sur place était une condition impérative avant de passer la douane de Fuentes de oñoro
D'un autre point de vue Cidade Rodrigo étaient la ville ou l'on trouvait des « boulaches » gaufrettes et bien d'autres choses que l'on ne trouvait pas au Portugal, cette ville étaient dans les années 80 , le let motif pour sortir dans un autres pays ou les jeunes allaient en discothèque, pour s'éclater compte tenu que chez eux régnait encore et toujours un sentiment de complexité à s'épanouir et s'éclater, les familles Espagnoles profitaient avec leurs enfants des joies des clubs de musique disco ou l'on dansaient sur la musique blasphématoire de « like a player de Madonna » avec ce petit curé noir et le feu sur la croix, ou « thriller » de Mickael Jackson qui nous à transporter vers des univers débauche et de sensualité et de peur dans la nuit de ce faire manger tout crue par des monstres parce que on osait sortir de chez nous la nuit, nous imitions alors les mêmes gestes que nos idoles des années 80 la pop musique nous ouvrait les portes de la décadence et du vice, les sorties nocturnes endiablé nous fessait découvrir que a 18 ans nous avions le droit à gouter la liberté au moment de publier cette page j'apprends la mort de Mickael Jackson je ne sais que penser des heures des jours ils nous a transporter vers ce monde fantastique qui est la liberté de la musique et de la danse je lui rend un vibrant hommage car s'est justement a cette époque que j'habitai la frontière et nous allions pour lui, mais seulement de l'autre coté de la frontière, en Espagne pendant que les familles de Portugais souvent vêtu de noir portaient le deuil et préféraient les « lareiras » braises sous les tables de cuisine et la télé espagnole jusqu'à 21 heures pendant que tout le monde dormais il y avait des films crypter hummm comme sur Canal plus le soir c'était mal de parler de sexualité ou même de voir une scène en train de s'embrasser sur la bouche qui dure plus de deux secondes, une gène était perceptible et la télécommande soudain zippait vers un western ou un film à la con pas traduit pour pas comprendre, ce qui est toujours le cas, ou la VO pour des personnes qui ne savent ni lire, ni écrire leurs aura t enlever une partie du plaisir de ne comprendre l'histoire que par l'image à défaut de comprendre l'anglais ou l'allemand, merci les chaines portugaises d'état ou vous avez toujours été en décalage avec la population âgée et qui n'a pas voulu ou su demander plus de libertés pendants des décennies les Portugais ce sont contenter de l'image !!! , je n'ai toujours pas compris pourquoi ? Manque de traducteur ? Peur que le peuple bascule ?, catholicisme inquisiteur ?.ou manque d'argent ? , certainement pas trop de concurrence, bref on a laisser un peuple s'accommoder de « o preço justo » vous l'aurez compris pas besoin de traduire et arroser les pommes de terre même si ça coute plus cher que de les acheter chez intermarché au moins on sais que l'on a que mi de ce fameux désherbant, et quelques autres pour les
bestioles qui rampes sur les feuilles, ils ont un nom anglais ? Bref ça croque sous la dents je me rappelais en remplir des bocaux pleins tout les jours.
Les gens avaient peur du fait d'être catholique du quand dira-on à la messe du samedi soir ou du dimanche matin ou des réactions du voisinage.
L'éducation dans la région étaient encore stricte, les collèges et écoles étant sous la doctrine des curés catholique qui dirigeaient celles-ci, les baptêmes les mariages les enterrements, il contrôlaient ainsi même 10 ans après la dictature l'état de fait, après le 25 avril 1974 de la révolution des œillets, l'état de la morale et la pression familiale, d'un coté s'était la dureté ecclésiastique et de l'autre la débauche après la douane, le sexe, la drogue, le wisky, les discos, et même une petite pipe entre mecs aller pourquoi pas mais je reste hètèro... sim sim !!! , les opposées ce côtoyaient tant mieux pour moi un bol d'air de temps en temps me fessait me rappeler que je n'étais pas comme on voulait que je soit et le la débauche était à porté de main, je ne vais pas comparer jusqu'à Guantanamo mais presque, oui presque.
Pour avoir vécu cette époque je peu vous dire que jetait le 1er fils d'immigrer à revenir avec ça famille définitivement entre 1985 et 1986 sans savoir même parler la langue, jetai le diable incarné, les pères de familles avaient peur que leurs enfants du même âge qu'ils ne prennent le pas sur cette liberté si affichée et débauchée, l'ordre étaient de ne pas entrer en contacte avec vaderetro satana mais à coté la décadence de l'Espagne et la frontière à porter tire au but, à définitivement éloigner les agneaux de la bergerie, ma présence n'auraient suffit à les débauchés seul, le mal était plus fort.
Bien heureusement sinon on seraient tous encore à genoux à prié Fatima pour qu'elle revienne ( cela doit être un manque affectif maternel, moi jeune je considérai ma mère et les femmes comme des saintes, maintenant comme des extras-terrestres... )
Fuente de oñoro étaient et est une passoire à pied, dans tout les sens du terme, la liberté de passer d'un coté à l'autre invitait cette jeunesse que fasse, à boire des litres de bière et à fumer des joints à en devenir malade, quelque chose de spécial les attiraient tout les jours derrière les immeubles des Galeries Alanis, ça sentait la ville de débauche et ont aimaient ça , pour clore avec cette célèbre douane ou les camions TIR on pris le relais de la danse et la crise pousser grande partie des habitants à fuir l'endroit pour trouver un job ailleurs et ou maintenant la moitie des maisons sont à vendre, un bien triste tableau de chasse à l'heure actuelle les discos ont disparues pour faire place a des clubs de putes, s'est pas que j'aime pas mais s'est pas mon truc.
Le curé de la ville , bien qu'il y en a eu toujours 3 ou 4 ensemble pour 2000 habitants mise à part les, senior doctor, et les senior engeniero, « voce » « vous » étant une insulte et ceux à qui sans la courbette et un passe droit sinon rien ne ce fait qui plus est si tu es pas le fils de....qui à l'info que intel part et que la place lui est déjà réserver parce que il est pistonner par de la famille de, et pour...aucune chance à l'horizon, mieux vaut s'exiler...au moins on peut faire des bêtises sans que les parents nous mettent la gifle pour nous remettre dans le droit chemin de la dictature catéchistique.
je disais donc que alors que jetai à l'école ne 1987 monsieur le curé nous fessait un gros mensonge, bien épais qu'il n'y aurai pas de chômage ici, chose qui aujourd'hui ne m'est toujours pas passer au travers du grossier tant le mensonge à jeter à la rue la moitie de la population, il s'était engager à trouver du travail pour tout les habitants de Vilar Formoso il disait que le chômage ne touchait que 9 personnes mais s'était sans compter sur l'ouverture des frontières en 1992 dans l'entrée dans la communauté européenne et la perte des transitaires des agents en douane et du tissu social qui en vivait, ainsi que le pillage des fonds perdu Européen et de la PAC ou certains ce sont remplis les poches avec des sociétés bidons et ce sont offert de somptueuses villas ou des restaurants pour blanchir tout cela, les banques ont d'ailleurs fermer les yeux sur des capitaux qui entraient de toute part sans demander de ou l'argent venait , il suffisait de dire que l'argent venait de l'étranger des fiches de salaire n'étaient même pas nécessaires, la douane grouillait de banques au choix plus attractives les unes que les autres pour les immigrants, 10 à 30 % d'intérêt pendant 10 ans ou 20 ans, fixe s'il vous plais. Les voies du seigneur sont impénétrables...mais pas imperméables ( Con-fessé vous monsieur le curé pour vos mensonges qui n'ont eu que un effet, nous faire découvrir le monde.) au nom du padre du mensonge est du malin , merci.
Bbref la ville de Vilar Formoso n'a vécu en 30 ans que crise sur crise rien ni personne n'a eu le courage de la porter au rang de ville exemplaire dans son développement trans-frontalier avec l'Espagne et son point géostratégique et géo-positionée, vraiment si les politiques n'étaient pas que des incapables aux poches perforées pour les amis les choses ne seraient pas ainsi aujoud'hui.
A part cela je suis très content de trouver un village calme pour me ressourcé et voir que mes parents qui ne vivent pas le stress Parisien à leurs âges....
Pour sortir de ce crochet de d'un demi siècle à Vilar Formoso de pauvreté territorial et intellectuel je vous propose de continuer le voyage juste une chose s'est beau mais des politique ont laisser des usines polluantes et mal odorantes s'installer s'était la dernière chose à faire.
en remontant « tras dos montes » ( derrière les monts ) après Figueira de Castelo Rodrigo à ne pas confondre avec Cidade Rodrigo qui ce trouve en Espagne, Figueira célèbre pour ses amandiers en fleurs au printemps les monts sont éclatants d'arbres fleuris de blanc et d'une terre ocre et rocailleuse un spectacle unique et éphémère qui ne dure pas plus de 15 jours par an , les peintures préhistoriques unique au monde et les plus Anciennes en Europe découvertes lors de fouilles avant de construire un barrage sur la rivière Cõa, jonché de monts de 200 à 300 m de haut formant un passage très difficile par la route mais d'une splendeur unique d'un voyage inoubliable au cœur du pays et des traditions encrées pour remonter notre chemin sur le nord du Portugal vers la ville de Chaves
LES COMMENTAIRES (1)
posté le 27 février à 10:15
j adord le portugal