Avec un talent de conteur, Jean-Calude Decaux nous a raconté la genèse du concept, le premier refus de la ville de Paris concentrée sur le dossier des JO, la première expérimentation à Lyon et, finalement, le changement d'avis de Bertrand Delanoë. C'est avec fièreté qu'il nous a présenté en détail les innovations technologiques, en constante évolution, de ce vélo urbain, dont la première exigence est la robustesse. Nous en sommes désormais à la troisième génération. Dernière innovation en date, le remplacement des pneus classiques par des pneus en dur, afin d'éviter les problèmes de crevaison. J'ai, pour ma part, été frappé par la personnalité et le charisme de ce patron fondateur d'un groupe qui emploie désormais 7000 personnes auquel il a su conserver le management d'une PME familliale.
J'ai été frappé par le confort de ces vélos qui permettent vraiment de pédaler sans effort. En cela, ils sont parfaitement adaptés à leur vocation de solution alternative de transport dans le cadre d'une politique de développement durable et de promotion des circulations douces. Mais pour atteindre cet objectif, j'ai rappelé à Gaston Garino, maire adjoint en charge de la voirie, la nécessité d'engager la concertation avec le Conseil général, Neuilly et Paris, pour la mise en place de pistes cyclables permettant de sortir de Puteaux en toute sécurité par les ponts de Puteaux et de Neuilly. Une proposition que j'avais formulée dans ma Tribune d'avril de Puteaux Infos.